BEBOU - you''re my little star

**Invité**

Tu viens de faire une partie de la mission et tu es fatiguée. Tu vas rejoindre ta communauté, tu ne retournes pas vers diego, ça te fait étrange. Tu restes assise quand on te dit qu’on a trouvé un gosse paniqué par le chaos ambiant. Blessé. Tu lèves les yeux au ciel. Tu les rejoins, te demandant qui a encore fait n’importe quoi. mais tu le reconnais. Il a déjà été dans ton service. C’est le gosse que tu as trouvé si beau, si doux, si. merde, t’as 35 ans, lui 22, calme toi. Tu te précipites pour aider. On l’a attaqué, c’est courant, mais là, le chaos a rendu certains sauvages. Il a prit des coup et son épaule pend lamentablement. Tu l’auscultes doucement, tout en gardant son regard sur toi. Il a dû courir, il s’est blessé la cheville que tu bandes doucement puis tu remets son épaule, il hurle, ton coeur manque un battement. Tu lui attaches son bras, ta main se pose sur celui ci et tu le retires. tu te souviens, tu n’as pas le doit;, c’est un gosse ley. Toi t’en as jamais été une, tu compenses. Il semble se réveiller, et le connaissant, il va paniquer. - Hey, on t’as récupéré dans la ville tu es.. En sécurité. Qui t’as fait ça ? - Que tu dis en fixant son bras et son visage. Tu sens tout ton corps réagir à son regard. a ce ptit corps devant toi. Celui à qui tu penses bien trop. La sauvage vient d'être dompté et ça fait assez peur. - Moi c’est Ley, tu te souviens ? C'est milo c'est ça ? - Tu restes loin, parce que si tu ‘approches, tu voudras toucher.

**Invité**

Milo sortait d'une très longue journée enfermé à la bibliothèque, à l'abris du chaos extérieur. Il avait étudié principalement, les épreuves arrivaient à grand pas et il préférait ignorer cette rébellion. Il ne voulait pas en prendre part bien que y a peut être même pas un an et demi il l'aurait fait dans la frustration qu'il avait ressenti face à la sentence terrible de sa cérémonie. Mais là, non, il se tenait à carreau, continuant de vivre au bon vouloir de l'agence. Ce qu'il en ignorait c'était le prix, certainement. Se faisant petit et longeant les murs, il tentait de se faufiler dans la cohues qui s'y trouvait. Malheureusement, aussi frêle qu'il est et attirant les emmerdeurs rien que par sa tête, il se fit happé dans la foule et bousculer de partout. Il n'arrivait pas à se relever, il commençait sérieusement à paniquer, il tremblait comme une feuille, il avait la tête qui tourne et il s'agrippait à son sac à dos comme si sa vie en dépendant. C'était un peu le cas, son sac contenait son ordinateur avec l'intégralité de ses cours et autant dire que le perdre serait une vrai catastrophe. D'ailleurs un sale type le remarqua, en même temps un putain de caste un qui ose sortir de chez lui avec ses affaires ne méritaient que de prendre pour son grade, n'est ce pas ?

L'autre voulait son sac alors il le tira des bras de Milo, mais le garçon ne voulut pas se laisser faire alors il s'accrocha. "No...non, arr...arrêtez..tez, s'il vo...vous plait, j'en ai be...besoin..." qu'il bégayait à l'homme mais, il en avait rien à faire et agacé, finit par le frapper et lui arraché le sac du bras avant de le pousser violemment dans la foule. Il roula au sol et tombant pas bien, il atterrit violemment sur son épaule et voulant se relever, il se retrouva violemment bousculer, ce qui acheva son épaule qui émit un mauvais bruit et une douleur particulièrement crispante, il poussa un cri. Il arriva à bouger son corps contre un mur et n'arrivait pas à retenir ses larmes. L'angoisse était assez grosse pour qu'il n'arrive plus à bouger, il avait mal et venait de perdre son sac. C'est certainement ce qui entraîna son malaise.

Finissant par se réveiller, il se retrouva dans une pièce qu'il ne connaissait pas, il se mit alors à paniquer en silence, encore dans les vapes, il ne s'attendait guère à ce qu'on replace son épaule, lui arrachant alors un cri de douleur. Il grimaça alors, tentant de récupérer ses esprits. Sa vision quittant le brouillard flou de son réveil, commençant à voir les formes de façon plus concrète... Il entendit une voix, qui lui parlait, visiblement. "Heu... heu... je... je suis où ?" qu'il fit d'abord, commençant à paniquer. La femme se présenta et là ça lui revint, il l'avait déjà vu pendant un de ses stages. Mais il ne comprenait quand même pas pourquoi il était là. Mais ça le rassurait... un peu. "Un ty...type m'a vol...volé mon sac avec... mon ordi... et mes cours..." qu'il fit alors en la regardant de ses yeux embué par les larmes qui venaient toutes seules. Il était complètement perdu, dépassé par les évènements. C'était le genre d'événement dont Milo n'avait absolument pas l'habitude.

**Invité**

Le jeune a l'air tout sauf à l'aise.. Malgré toi, tu souris. Ca te donne encore plus envie de le serrer contre toi. C'est dingue à quel point tu es différente avec lui. Tu n'es pas fan. Ton cynisme, ta méfiance, ça t'a aidé. Mais tu a beau ne rien vouloir, ton cœur se fiche de ta mauvaise foi ou de tes réticences. Il choisit à ta place. Il a peur on lui a volé ses affaires. Ca a l'air d'être très important. Il a a l'air perdu. Il veut savoir où il est. Tu hésites. Tu ne réponds pas de suite. Le temps de savoir quoi dire. Tu appelles celle qui l'a trouvé. Tu lui demandes si ils ont récupéré des ptits cons. Tu les envoies le faire. Après tout tu aides ceux que l'agence a fichu en l'air.

- Faut que tu te reposes. On va récupérer tes affaires. Ne t'inquiètes pas. -

Il pleure. Ton cœur se brise. Tu es incapables de ne rien faire. Tu sais que trop ce que ça fait. D'être perdu. Tu t'approches de lui et le prend contre toi. Le berce doucement.

- Hey je te promets qu'on va trouver ces imbéciles et trouver tes affaires. Parle moi de toi. Tu es marié ?

- Que tu demandes. Tu sais ce que ce mot signifie pour toi et beaucoup d'autres. Mais ty veux qu'il te dise lui. Si il a quelqu'un. Qui tient à lui. Qui pourrait être là pour lui. Ou juste un colocataire. Tu n'aimes pas l'idée de le partager. Même si ça te regarde pas. Tu savais pas qu'un jour tu finirais cougar. Tu le serres un peu plus puis t'assieds sur le lit où vous l'avez mis. Tu essuies ses larmes de tes doigts sur son visage. -

Tu as faim ? On a un tas de choses à manger si tu veux. Dis moi ce que tu aimerais. -

Vous avez des réserves. Tu souris. Tu lui prends sa main valide. Elle est froide. Tu as envie de le protéger. Contre ce monde. Contre les gens. Contre toi. Tu ne peux pas penser à ça. A lui. Tu ne peux pas oublier. Prétendre.

- Amenez moi une autre couverture.

Il tremble. - Tu lui en ajoutes une. Tu te retiens de le toucher plus.

- Ta cheville te fait mal où ca va ? On peut t'emmener faire des radios pour être sûr que ça va.

- Parfois c’est fissuré ou quoi et ça ne se voit pas. Puis elle est gonflée. On sait jamais.

**Invité**

Milo était définitivement pas fait pour vivre dans ce monde. Il était trop fragile, trop peureux, trop faible, trop gentille. Il était le trop de beaucoup de chose mais malheureusement pas trop de ce qui pourrait lui permettre de réellement survivre ici. Les larmes sur ses joues semblaient sans fin, ses lèvres tremblaient comme des feuilles au rythme que des chaque membres de son corps. Il voulait pouvoir se calmer, mais il n'y arrivait pas. Il était au bord de la crise d'angoisse, qui n'attendait qu'un battement de cil pour prendre la possession de lui. Il l'écoutait parlé mais c'était comme s'il ne comprenait pas ses mots, comme si son ouïe était brouillé. Il n'entendait que des bourdonnement légèrement aiguë. Il tenait son épaule douloureuse de sa main et ses yeux noisettes parcouraient encore une fois la pièce. Se concentrant un peu, il arriva à comprendre à peu près ce qu'elle lui disait. « Nooon...non je...je pas marié... » qu'il bégayait.

Il sursauta en se retrouvant contre elle, mais il se laissa faire, il ferma les yeux et tenta de respirer profondément. Il tentait de calmer son cœur qui battait bien trop fort dans sa poitrine, il avait l'impression qu'il allait brisé ses cotes et en sortir. Ley arrivait à le détendre au fur et à mesure, il se sentait en sécurité dans ses bras et ses petits gestes lui rappelait sa mère quand elle était encore là. Il lui arrivait parfois qu'elle le prenne dans ses bras et lui essuie les larmes et le rassure quand il pleurait. C'était des rares moments d'affection qu'il avait toujours aimé. Milo releva la tête et rouvrit les yeux à sa question, avait-il faim ? Il n'en savait rien. A vrai dire, tout ce qui lui donnait envie était une énorme tranche de brioche tremper dans de la confiture d'abricot. Mais il ne savait pas trop s'il pouvait faire une demande spécifique. « Quelques...cho-chose de su...crée ? » qu'il répondit alors. Il n'arrivait pas à contrôler sa bouche, il n'aimait pas bégayer de la sorte mais il ne pouvait rien y faire, il devait se calmer avant de pouvoir parler correctement.

Il s'enroula dans la couverture qu'elle lui donna et murmura un merci timide. A sa question, il voulut bouger sa cheville mais une douleur intense le prit, il grimaça durement. « Je... crois qu'elle est cassé... Je peux...peux plus la bou...bouger. » qu'il fit en la regardant de son regard humide et inquiet. Il ne s'était jamais rien cassé jusqu'ici. En fait, il lui était encore jamais rien arriver de grave, c'était un angoissé chanceux, du moins, jusque maintenant.

**Invité**

Le p'tit loup était pas marié encore. C'était étrange. Il semblait être le genre à suivre à la lettre les règles et s'être marié aussitôt qu'il eut 20 ans même si toi, tu n'avais pas eu ce choix. Enfin. Tu l'avais pris mais à quel prix. Tu n'existais pas vraiment. Io était là, perdu et tu te sentais proche de lui. Tu ignorais pourquoi.

Ok ! Je peux savoir pourquoi ?

Oui tu étais curieuse. Tu voulais plus d'informations. Tu comprenais aussi que certains jeunes avaient peur de ce qu'on allait leur flanquer. C'était facile de vivre tranquille jusqu'à ses 20 ans et devoir se faire à l'idée qu'on était désormais adulte et qu'il fallait se marier. Oisif ou pas c'était un grand pas pour la plupart. La réaction qu'il eût quand il fut contre toi te fit sourire. Il avait pas l'air affamé mais il était sûrement très intimidé. Il demanda quelque chose de sucré. Tu fis signe à une de tes collègues sui compris qu'elle irait chercher de quoi le combler. Peu importe ce qu'il aimait il y avait de quoi faire. Ce n'était pas de la nourriture telle que celle qu'on a en caste 1 mais pas mal de riches donnaient aussi. Il pensait sa cheville fichue et avant de le faire manger il fallait s'en occuper. On t'amena de quoi le faire.

On va s'en occuper. Ok ? Je vais le faire. Juste après les radios.

Tu otais doucement sa chaussure puis la chaussette et tu le mit en place pour faire la radio. Effectivement c'était pas en grande forme. Tu remis en place le matériel et allais chercher de quoi immobiliser. Il fallut le piquer pour qu'il ne souffre pas trop avec une aiguille, tu lui enfilais la bande puis tu plaçais les bandes de plâtres. Une à une, elles furent posées. Tu plaça son pied à présent bien plus volumineux sur un coussin. Il fallait attendre que ca sèche. En attendant un plateau avec des viennoiseries et du lait et du jus furent placés au dessus de lui après que tu l'aies aidé à se relever sans se faire trop mal. Il semblait si fragile. Si triste.

Allez régale toi. Tu vas pas pouvoir te déplacer tout de suite mais la semaine prochaine ça devrait être bon, enfin si tu arrives à poser le pied mais on avisera ok ?

Tu tentes de le rassurer. Ca doit pas être facile de s'imaginer se débrouiller tout seul. Même si tu allais devoir lui dire qui tu étais à un moment. Tu le regardais manger avec attention. Ta main caressait son bras valide. Un geste mécanique. Tu ne faisais que le calmer. C'était mignon qu'il soit zi effrayé qu'il bégayait.

Ley on amène des gens là. Tu les gères ?

Tu hochais la tête et suivis la personne laissant le ptit cœur seul en donnant à quelqu'un l'idée d'aller lui rendre visite avant qu'il s'imagine qu'elle l'abandonnais. Tu revins l'air désolée.

Je suis désolée mais tu ne vas pas pouvoir rester ici. Pas une semaine du moins. Dès que le courant revient partout tu iras chez moi. Ensuite je te raccompagnerais chez toi ok ?

Tu te doutes qu'il va pas aimer des masses surtout quand il verra dans quoi il se rendra chez toi mais des nouveaux étaient là et il devait t'être chez lui. Il n'était pas des vôtres. Et pourtant tu voulais le garder avec toi. Peut être même plus que ça encore.[/i]

**Invité**

Expliquer pourquoi il n'était pas marié le rendait nerveux. Sa peur de l'agence le faisait penser que ce qu'il faisait pourrait le mettre en danger. Pourtant, il faisait tout pour respecter les règles à la lettre. Seulement, il voulait réussir ses études, même si c'était un métier qui ne l'attirait absolument pas, qui l'angoissait. Et pour lui se marier à ce moment là ne l'aiderait pas à réussir, c'était...trop tôt. Et l'idée de se marier avec quelqu'un lui faisait simplement peur. Il n'avait pas envie de vivre ce que ses parents avaient vécu, un véritable enfer. « Je ne sais pas... ça me fai..fait peur. » qu'il bégayait. Ça lui faisait mal de parler ainsi, mais il ne pouvait pas contrôler, bien trop effrayé par la situation. Il grimaça quand elle lui retira sa chaussure et sa chaussette, faire bouger sa cheville lui faisait un mal de chien.

Il se laissa faire tout du long, sans un bruit et sans broncher. De toute façon, il ne pouvait pas aller bien loin. Et il ignorait totalement où il se trouvait réellement et au fond, valait mieux pas qu'il sache. Savoir qu'il était chez les rebelles avec une des chefs présentement, lui ferait la pire crise d'angoisse jamais vu encore. Il se souvenait encore de quand la milice est venu arrêter sa mère, la violence qu'ils avaient perpétrer, les cris de sa mère qui hurlait contre son père. Une fois assis dans ce lit, il fixa la nourriture qui lui était offert. Souriant doucement face à celle ci, il fallait dire qu'il avait vraiment faim et voir ces viennoiseries lui donnait bien envie. ça aura au moins le mérite de lui remonter un peu le moral et lui faire oublier qu'il avait perdu tous ses cours. « D'accord...merci... » deux mots, bien prononcé, c'était déjà rassurant, de l'entendre parler à peu près correctement.

Mangeant lentement, il restait silencieux. Les attentions de la jeune femme le calmait, il fallait le dire. Même si c'était un peu étrange pour lui, on ne lui fait jamais ce genre d'attention habituellement, on a plutôt tendance à le regarder de travers parce qu'il est trop... trop Milo. Une boule innocente qui n'a rien à faire dans ce monde. Pourtant, il est bien là. Mais Hayley dû partir, le laissant seul. Mangeant encore un peu seul, il fini par déposer le plateau à coté de lui et par attendre sagement, la tête appuyé sur sa main. Il releva la tête lorsqu'elle revint.

« Mais... où est ce qu'on est ? C'est quoi ici ? Et il se passe quoi dehors ? » il ne savait pas vraiment pourquoi, mais les questions sortaient tout seul, au fond de lui il voulait avoir des réponses. Tout ici était perturbant, ça n'avait rien à voir avec la société où il vit d'habitude où tout est contrôlé au moindre millimètre, au point de ne pas pouvoir entré quelque part pour une question de... caste ? Alors pourquoi était il ici ? Il savait très bien qu'il était dans la plus haute. Il ne se considérait pas supérieur aux autres pour autant, mais malheureusement il était soumis aux règles.

**Contenu sponsorisé**